Pourquoi on ne rentre pas dans les cases !?

Quand on est neuroatypique, hypersensible, zèbre, multipotentiel…

Pourquoi donner tant d’importance à ce que les autres veulent ? À la société ? Aux regards des autres…? Et ça marche pour tout hein, relation de couple, amitiés, job…

☑La personne la plus importante de votre Vie c’est VOUS !

Et, pourtant, c’est souvent que l’on passe en dernier…!

Les choix… Tu en as toujours fait et tu en feras encore et encore. L’idée est de prendre conscience que tu es maître de ta vie. Tu peux la créer sur-mesure pour toi, grâce aux décisions que tu prendras.

Nos choix ont un impact immense sur notre quotidien. Notre vie d’aujourd’hui est le reflet de nos choix passés à travers les idées reçues, notre entourage et la société.

Tu n’es pas obligé de subir ou de faire ce que veulent ou disent les autres.
Le premier pas vers le changement est de savoir qui tu es, ce que tu veux et de mettre la lumière sur ce qui t’empêche de changer et de quitter une situation qui ne te convient pas.

Pourquoi rester dans une situation qui ne t’épanouit pas ?

Apprends à te choisir

« À force de vouloir entrer dans un moule, on finit par devenir tarte ».

Pourquoi on ressent souvent une gêne, un malaise, un décalage, le sentiment de faire des gaffes, de déranger ?

Parce que :

☑ Les banalités, les conversations de salon creuses, stérile, les mêmes discussions, parler de la pluie et du beau temps… ça nous ennuie, c’est ennuyeux, monotone ! On ne sait parler pour ne rien dire.

☑ Le fameux bonjour, ça va ? Qui n’est juste qu’une façon de saluer, mais le « ça va », c’est seulement pour faire style (ils n’attendent pas de réponse au ça va).

☑ Les réunionites aiguës, interminables, qui tourne en rond, qui stagnent, et qui ne servent à rien… On passe ses journées en réunions, pour certains, c’est un signe de reconnaissance, je suis important, pour nous, c’est une perte de temps non productive.

☑ Les jeux de pouvoirs, chacun à sa place dans la hiérarchie, où l’aspect « politique » prime sur l’aspect pratique. On a tous eu des collègues fayot, lèches botte, les dents qui rayent le parquet, qui se tirent la bourre, qui va se mettre en avant, dévaloriser les autres…
De plus, nous ne sommes pas dans la compétition, on se croirait dans un film quand on regarde la scène !

☑ l’art de trouver des problèmes à chaque solution, analyser, organiser, faire des réunions… au lieu de passer à l’action. Alors que pour ma part, nous, un problème = 1000 solutions

☑ L’art de se plaindre, tout le temps, vous avez déjà eu dans votre entourage des personnes qui se plaignent sans arrêt de la direction, son chef, ses collègues, son mec, sa pote… non ? Moi, ça me fatigue et pourtant je suis empathique, et depuis que j’ai découvert que j’étais neuroatypique, j’ai une nouvelle vision, car ça plombe, l’ambiance, mon état d’esprit…
Combien j’ai eu de collègues qui se plaignaient, mais qui concrètement ne faisaient rien pour que cela change : plein à l’inverse, je n’entretenais pas cette négative attitude, même si j’avais mes pensées et du jour au lendemain, je me suis barrée.

Et, ça serait à moi, à nous de nous adapter parce que l’on est minoritaire ?

☑ Le meilleur ami, le déni, fuir, ne pas montrer ses faiblesses, ses doutes, sa situation ne lui convient pas. Cependant, ils préfèrent se voiler la face, quand moi, nous, on va se remettre en question, et se poser 1000 questions, comment, pourquoi… Je ne dis pas que c’est mieux, néanmoins, on est conscient et l’on cherche des solutions.

☑ Les mondanités, l’angoisse de la solitude, avoir besoin des autres pour exister, là encore dans un groupe d’amis, de collègues, il y a toujours un leader, des suiveurs, des hiérarchies, de la compétition… Moi, j’aime autant être seule que d’être entourée de « bonnes personnes ».

Moi, nous, nous avons besoin de sens, de kiffer 

Tu peux me laisser un commentaire si tu le souhaites ci-dessous ou sur instrgram 🙂 j’y répondrai avec plaisir.